jeudi 8 octobre 2015

Entretien avec Sophie, étudiante pour devenir professeur des écoles



Bonjour présentez-vous ?

Je m’appelle Sophie j’ai 20 ans dans deux semaines et je suis étudiante en deuxième année d’université à Paris pour devenir professeur des écoles. Cela fait quelques années que je veux devenir maitresse. Je me suis toujours beaucoup occupée d’enfants depuis mon adolescence, c’est presque… non c’est une vocation !

Comment avez connu la méthode B Onnis ?

Dans le cadre de ma première année d’étude, j’ai été amenée à faire un stage dans une école maternelle dans le 17 ème arrondissement de Paris. Ma maitresse référente se servait de la méthode, je l’ai découverte comme cela.

Et alors ?         
                                                                        
J’ai trouvé cette méthode totalement performante, vraiment intéressante. J’ai trouvé que cela amenait un vrai plus dans le cadre de mes études.  J’ai demandé où je pouvais la trouver sur internet, et des utilisatrices m’ont indiqué votre site.

Qu’est ce qui vous a séduit en premier dans la méthode ?

Sa facilité d’approche : n’importe quelle personne qui a un peu de pédagogie peu facilement la mettre en place avec des enfants. Il suffit juste d’écouter les directives de la voix off, dont les consignes sont expliquées sur le livret joint à la méthode. Ensuite, c’est son univers, la façon qu’elle a de mettre en scène des animaux, des bateaux ou des couleurs ! Des éléments qui sont forcément très présents dans le monde des enfants.

Comment avez-vous travaillé avec ?

La professeur des écoles avec qui j’étais, mettait en place un système d’atelier. Elle avait créé plusieurs groupes de 5 à 7 enfants. Chaque groupe travaillait sur une méthode différente et ainsi ils pouvaient se créer des univers bien à eux. Je crois que le but était de créer une vraie émulation entre les enfants et voir s’ils pouvaient comparer entre eux leurs univers.

Le résultat ?

J’ai le souvenir d’un petit garçon qui était assez en retrait des autres, il avait du mal visiblement à s’intégrer au groupe et à la classe. Il était visiblement assez troublé par l’école et tout ce changement brutal. Avec cette méthode, il a pu s’extérioriser et vraiment participer au jeu avec les autres. Je pense que c’est un outil important pour la socialisation des enfants.

Vous avez suivi toutes les  recommandations sur le livret ?

Bien sur que non, la méthode est assez ouverte pour pouvoir créer son propre environnement,  nous avons, j’ai pu, travailler comme j’avais envie.

Quelles ont été les répercussions dans le cadre de vos études ?

Forcément entre étudiants, nous échangeons beaucoup sur nos expériences et sur les différentes situations que nous avons rencontrées. J’ai évidemment évoqué la méthode B Onnis ! Cela a donné des idées à certains qui sont allés voir sur le site et qui ont vu par eux même. J’ai eu des questions donc je pense que cela a intéressé mes camarades.

Un dernier mot pour la méthode B Onnis ?


Oui, je tiens à dire que le métier de maitresse en école maternelle devient de plus en plus complet, on nous demande de plus en plus de choses : notamment d’aider les enfants à se mouvoir ou à s’intégrer en société. Je pense que la méthode B Onnis est parfaite pour ce type d’évolution et j’imagine qu’à l’avenir, elle va encore se développer. En tout cas, dans mon cas, je vais l’intégrer dans mon futur poste. 

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